En route pour un mini séjour au Bakanou, un camping que nous aimons beaucoup.

27 janvier,

Après avoir salué nos amis nous partons pour un arrêt à Agadir, avec un petit tour au souk El Had, souk rénové que je vous ai présenté : LA mais aussi : ICI au 22 février.

Aourir s'éveille....

Pas trop de monde  au souk c'est super. Achats de quelques fruits surtout des framboises, même pas 2.5€ kg. Qu 'en pensez vous ?

Une boisson bien agréable offerte par nos amis et qui a de nombreux bienfaits, je vous laisse les lire...

Je suppose que vous avez tout compris, dois-je vous mettre la traduction quand même ?

Faut forcer pour extraire le jus.

Voilà qu'il est fait...

On déguste, avec un peu de citron et du gingembre. C'est très bon.

Choix des épices.

Puis des olives.

Madame déguste.

Repas chez Saïdia, calamars frits pour tout le monde. Ils sont si bons.

Avec Saïdia.

Nous retrouverons aussi Chantal et JD. Nous avons rencontré Françoise et André que nous n'avions pas reconnus et pourtant ils n'ont pas vraiment changé et en plus ils étaient à Aourir.

Une journée bien remplie, ensuite un petit tour à Marjane et en route pour le camping Bakanou. Nous retrouvons avec plaisir, Jean Christophe dit Monsieur Bakanou. Nous papotons un peu et apprenons que le confinement c'est bien passé ici, contrairement à certains endroits. La preuve en image.

Nous allons rester quelques jours cool, ici.

27 Janvier,

Ce matin on reste sous la couette, au lever le ciel est plombé et vers 10h "ploc ploc", une petite pluie c'est invité. La premiere depuis un mois ici. On ne va pas se plaindre, le Maroc en a tant besoin. Mais pas certaine qu'elle soit efficace. Le soleil revient rapidement mais dès le début de l'après midi le vent se lève faisant un peu chuter la température.

Après le repas nous ferons un aller retour sur Agadir pour voir un hôtel pour nos amis Nantais qui doicent nous rejoindre ici trois jours. Impossible de les joindre par téléphone avec le numéro trouvé sur Internet.

En passant à Sidi-Bibi.

Pas mal cela doit convenir. Il suffit que les pilotes et aiguilleurs du ciel ne soient pas en grève.

Agadir s'embellit, le jardin d'Olhéo avec son architecture d'inspiration Amazich fait peau neuve. Mais il n'est pas ouvert. Il abrite le musée.

En 1505, les portugais avaient fondé une forteresse au pied de la colline d’Agadir.Cette place forte de Santa Cruz do Cabo de Gué leur servit à prendre position dans la baie d’Agadir comme à plusieurs endroits sur les côtes marocaines.

Le jardin d’Olhao a été construit pour symboliser cette page d’histoire et le rapprochement entre la ville d’Agadir et celle d’Olhao au Portugal.
Vous y trouverez aussi , un musée “Mémoires d’Agadir” où on découvre l’histoire de la ville et du séisme de 1960.

Retour au camping. Une scène courante au Maroc, il transporte une petite machine à laver en plastique. J'ai failli le louper...

 

Le camping ici s'agrandit et se transforme. Bravo.

La table a maintenant sa tonnelle.

Coucher de soleil sur Laazib.

 

28 janvier,

Hier c'était jour de couscous au camping, une bonne odeur  chatouillait les narines. Claudie était au fourneau.Il fallait réserver la ville. Mais elle me promet qu'elle me servira s'il en reste. Chouette il en restait donc nous le mangeons ce jour avec nos amis.

Une matinée ensoleillée, tranquille. Ce midi donc couscous, coucous excellent, merci Claudie.

 

Après midi balade digestive dan le petit village, cheveux au vent, car il souffle de plus en plus fort. Ici beaucoup de serres certaines ne semblent pas terminées, ni utilisées.

L'école.

Une maison du village, qui sans doute, se protège du vent.

 

Les serres.

Un intérieur de serre à travers une fente du portail.

La station d'arrosage.

 

Dés lors le vent souffle en raffales, soulevant le sable, nous rebroussons chemin.

Est-ce là la poubelle ?

 

Là j'en suis certaine, j'ai vu une dame vider sa pelle.

Un petit tour au camping, la piscine est en construction et se nomme Bakanou.

A la réception.

Ce soir un apéro chez nos amis lyonnais.

 

Demain nous faisons un saut de puce, mais nos amis restent quelques jours ici.